Accéder à du foncier sans avoir à s’endetter, voilà ce qui a motivé Karl Monvoisin, éleveur de bovins à Pouembout, à signer un bail rural.
« Les baux ruraux, c’est une sécurité pour moi qui ne peux pas acheter. Pour trouver du foncier à louer aujourd’hui, c’est dur ! Par contre, quand on a un bail rural, pendant neuf ans, on peut travailler tranquillement ». Dans un témoignage authentique, le trentenaire invite les autres éleveurs de sa génération à le suivre dans l’aventure des baux ruraux.